Salut Adrien ! Peux-tu te présenter ?
Bonjour, je m'appelle Adrien, 30 ans, passionné par la course à pied et plus particulièrement tout ce qui touche à la montagne. Même si je vis à Lyon et que je ne suis pas un montagnard dans l’âme, j’adore tout ce qui se rapporte aux sports outdoor, notamment l’ultra trail. C’est un domaine où j’ai encore beaucoup à apprendre, mais c’est justement ce qui me motive. J'ai rejoint la team Tā en 2024, et je suis ravi de partager mes aventures, mes progrès et mes défis avec l'équipe.
Pour nos lecteurs qui ne te connaissent pas encore, peux-tu nous parler un peu de ton parcours sportif ?
J’ai toujours aimé l’exploration et la découverte, ce qui m’a naturellement amené à la randonnée. Mais mon vrai parcours sportif a commencé après le Covid, quand j’ai décidé de me mettre à la course à pied. À 26 ans, je me suis lancé un défi un peu fou : courir un marathon. Huit mois plus tard, avec un pote, on s’est retrouvés sur la ligne de départ et j’ai adoré l’expérience.
Ensuite, j’ai découvert le trail et ça a été un vrai coup de cœur. Petit à petit, l’envie de me challenger m’a poussé à aller plus loin, à voir jusqu’où je pouvais repousser mes limites. J’ai eu la chance de courir des courses mythiques comme la SaintéLyon – un passage obligé quand on est Lyonnais – l’UT4M 160 et la MaXi Race.
2024 a été une année un peu charnière pour moi. Jusqu’ici, je courais un peu au feeling, mais j’ai voulu structurer un peu plus ma pratique, alors j’ai pris un coach. Ça a vraiment changé ma façon de m’entraîner, et j’ai beaucoup appris sur moi-même.
Pour 2025, j’ai prévu plusieurs courses du circuit UTMB. Ça commencera avec le Trail des Celtes (50K), puis l’Ultra de la Saint-Jacques, avant de terminer par la TDS pendant la semaine de l’UTMB. Ce sera mon plus gros défi à ce jour, et j’ai hâte de voir comment ça va se passer !
Pourquoi avoir rejoint l’équipe Tā ?
J’ai rejoint l’équipe Tā parce que leur vision de la nutrition sportive correspond exactement à ce que je recherche. Pour moi, la nutrition fait partie intégrante de la performance, mais elle doit aussi être saine, respectueuse de l’environnement et adaptée aux exigences du trail. Tā coche toutes ces cases, et je sais qu’en utilisant leurs produits, je mets toutes les chances de mon côté pour progresser.
En tant qu’ingénieur, je suis particulièrement sensible à l’impact de la nutrition sur la performance. Choisir des produits de qualité, bien formulés, c’est essentiel pour optimiser mon énergie et ma récupération. Mais au-delà de l’aspect sportif, il y a aussi une dimension écologique qui me tient à cœur.
Ma pratique se fait en pleine nature, et ça me semble logique que mon alimentation soit en accord avec cet environnement. Le fait que Tā propose des produits responsables, fabriqués en France, avec une vraie attention portée à leur impact, c’est un critère clé pour moi. C’est donc naturellement que j’ai eu envie de rejoindre cette équipe, qui partage ces valeurs et cette vision du sport.
D’où te vient cette passion pour le trail ?
Ma passion pour le trail vient de mon envie d’exploration et de découverte. J’ai toujours aimé la nature, et la course à pied m’a permis d’aller plus loin, plus vite. Ce qui n’était au départ qu’un défi est devenu une vraie passion, un moyen de me dépasser et d’explorer autrement.
Combien d'heures en moyenne t'entraînes-tu par semaine ?
Je m’entraîne en moyenne 12 heures par semaine, mais cela peut monter au-delà lorsque je travaille sur de gros volumes avec mon coach, en fonction des objectifs et des périodes clés de la saison.
Quels rituels ou habitudes t’aident à rester au top de ta forme ?
Pour rester en forme, j’essaie de garder une routine équilibrée entre entraînement, récupération et nutrition, tout en restant à l’écoute de mon corps et en m’adaptant en fonction des périodes. Le sommeil est une priorité, tout comme une alimentation adaptée à mes besoins. J’intègre aussi du renforcement musculaire et du travail de mobilité pour éviter les blessures. Mais surtout, j’ai appris que la clé, c’est l’adaptation : ajuster l’entraînement, savoir lever le pied quand il le faut et rester flexible pour progresser sans se cramer.
Comment intègres-tu l’alimentation dans ton quotidien de sportif ?
J’adore cuisiner, donc j’ai la chance de pouvoir composer des assiettes colorées et équilibrées pour bien manger et bien récupérer. L’alimentation fait partie intégrante de ma performance, et je la vois comme un levier d’adaptation selon mes entraînements.
Avec les produits Tā, je complète mon alimentation en prenant régulièrement leurs Oméga 3, et j’utilise beaucoup leur boisson de récupération après mes grosses séances pour aider à la reconstruction musculaire.
L’hydratation est aussi un point clé : j’essaie de boire beaucoup au quotidien et, une fois par semaine, j’ajoute des pastilles d’électrolytes Tā pour optimiser ma récupération et mon équilibre minéral.
Quel est ton produit préféré de la gamme Tā ?
Clairement, les gommes Tā ! On dirait des petits bonbons, et en pleine course, c’est toujours un plaisir de les prendre. C’est le combo parfait entre gourmandise et efficacité, et ça passe super bien même sur des efforts longs.
Quel est le plus grand défi auquel tu t’es confronté dans ta carrière jusqu’à maintenant ?
Mon plus grand défi à venir, c’est sans aucun doute la Trace des Ducs de Savoie en 2025. Affronter plus de 9000 mètres de D+ ne sera pas une mince affaire, mais c’est justement ce qui me motive. Je vais mettre un maximum de travail et m’entourer des bonnes personnes pour me préparer au mieux et être prêt à affronter cette course de folie !
Quels sont tes objectifs sportifs pour les années à venir ?
Mon objectif principal, c’est l’UTMB en 2026. Quand j’ai planifié ma saison 2025, je l’ai pensée sur deux ans, en construisant un chemin progressif vers cette course mythique.
Pour l’instant, l’idée est de voir comment se déroule 2025, quels progrès je fais, et quels ajustements seront nécessaires. Plutôt que de me focaliser uniquement sur la finalité, je préfère me concentrer sur la méthode : c’est elle qui me permettra d’atteindre l’objectif.
Quel conseil donnerais-tu à quelqu’un qui débute dans ta discipline ?
Le plaisir, c’est la clé. Il faut apprendre à apprécier tout le chemin de progression, pas seulement la course. En ultra-trail, l’entraînement représente la majorité du temps, alors que la course en elle-même ne dure qu’un petit pourcentage de l’ensemble.
Le jour J, c’est juste la cerise sur le gâteau, mais ce qui compte vraiment, c’est tout le travail et les moments vécus avant. Profiter du programme, aimer l’entraînement, savourer les progrès, c’est ça qui fait la différence sur le long terme !